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                                                    Le 29/03/2014
                    
                                        
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                                                    Le 29/03/2014
                            
                                                
                         Vous retrouverez dans le document ci-dessous, le sujet évoqué par Claude LEDEZERT lors de notre dernière séance Généalogie, concernant les documents scellant la naissance des registres paroissiaux, qui sont les ancêtres des registres de l'État Civil.
Vous retrouverez dans le document ci-dessous, le sujet évoqué par Claude LEDEZERT lors de notre dernière séance Généalogie, concernant les documents scellant la naissance des registres paroissiaux, qui sont les ancêtres des registres de l'État Civil.
Dès le XIIIème siècle, les notaires royaux écrivaient en français et c'est entre les XIVème et XVIème siècles que le français s'est petit à petit imposé comme langue administrative dans les chartes royales, au détriment certes du latin mais aussi des autres langues régionales. L'ordonnance de Villers-Cotterêts n'a fait qu'appuyer un mouvement de centralisation linguistique déjà amorcé depuis plusieurs siècles. D'autres édits royaux préconisaient la langue maternelle, sans rendre obligatoire le français :