Dernières Nouvelles d'Alsace : Nicolas Vanier, traditionaliste, double ce récit d’apprentissage d’un récit familial dramatique. L’Ecole buissonnière cultive une rétro-nostalgie un peu poussiéreuse, mais elle a pour elle un décor grandiose, cette Sologne magnifiquement filmée. Voici un conte qui est un film-paysage.
Femme actuelle : Un conte tendre, au charme désuet, pour les plus jeunes.
Le Figaro : Sur cette intrigue enfantine, dont les acteurs préservent avec beaucoup de talent la candeur surannée, le film déploie le charme puissant d'un vrai romanesque provincial.
Le Figaroscope : Elegant, sensible et juste.
Ouest France : Les séquences avec les animaux, des renards aux cerfs en passant par les saumons et les rouges-gorges, sont absolument magnifiques et valent les deux heures passées à suivre le jeune Paul sur les traces d'un vrai braconnier de Sologne (...).
aVoiraLire : Le dépaysement fait son effet. Pourtant, cette beauté de carte postale omniprésente ne laisse guère de place au récit et le rythme, toujours plus contemplatif, s’amenuise jusqu’à frôler l’ennui au cœur de cette fresque agricole de presque deux heures.
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