Neuville-sur-Sarthe

Jeudi 10 juin 2021 à 20h45 

Salle polyvalente - 18, Grande rue 72190 Neuville-sur-Sarthe

Tarif unique : 4,50 €

Présentation

Date de sortie :  21 octobre 2020

Durée : 1h27 mn

Réalisé par : Albert DUPONTEL

Avec : Albert DUPONTEL, Virginie EFIRA, Nicolas MARIE, Jacky BERROYER

Genre : Comédie

Nationalité : Française

Note moyenne presse :  3,7 / 5

Note moyenne spectateurs :4,1 / 5

Box Office France : 1 400 000 au 01/06/2021

Source : Allocine.fr / JP's Box Office

Synopsis et détails

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.

Extraits de critiques de presse

La voix du Nord : Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique (...).

20 Minutes : La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie.

Télé Loisirs : On retrouve l'énergie burlesque, la maîtrise visuelle et les dialogues percutants déployés par Dupontel dans "9 mois ferme". Mais en osant le mélo, il y ajoute une puissance romanesque et une émotion qui nous submergent. Quelle claque ! 

Ouest France : Un délice de cinéma.

Femme Actuelle : On pense aux univers de Jacques Tati, de Wes Anderson ou de Terry Gilliam, autant de réalisateurs qui prennent des libertés avec le réel pour, finalement, mieux en parler à leur façon.

Le Parisien : Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant.

Télérama : POUR ! Le cinéma d’Albert Dupontel ne cesse de surprendre par sa tendresse iconoclaste et rageuse.

Positif : Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social.

ADIEU LES CONS Bande Annonce (2020) NOUVELLE, Virginie Efira, Albert Dupontel

ADIEU LES CONS - making of avec le Palmashow

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