La voix du Nord : Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique (...).
20 Minutes : La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie.
Télé Loisirs : On retrouve l'énergie burlesque, la maîtrise visuelle et les dialogues percutants déployés par Dupontel dans "9 mois ferme". Mais en osant le mélo, il y ajoute une puissance romanesque et une émotion qui nous submergent. Quelle claque !
Ouest France : Un délice de cinéma.
Femme Actuelle : On pense aux univers de Jacques Tati, de Wes Anderson ou de Terry Gilliam, autant de réalisateurs qui prennent des libertés avec le réel pour, finalement, mieux en parler à leur façon.
Le Parisien : Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant.
Télérama : POUR ! Le cinéma d’Albert Dupontel ne cesse de surprendre par sa tendresse iconoclaste et rageuse.
Positif : Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social.
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