Cinéaste du lien et des sens, Grégory Magne, après "L’Air de rien" et "Les Parfums", nous offre son film le plus abouti, sensible et drôle. Une ode magnifique à la beauté et au vivre ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Étant donné le sujet, il n’est pas surprenant que "Les Musiciens" prenne rapidement des allures de film choral. Une forme de narration complexe que Grégory Magne parvient à maîtriser avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Après L’Air de rien et Les Parfums, Grégory Magne continue de creuser le sillon du film de métier oblique. Métier du titre, bien sûr, mais avant tout considéré sous l’angle de sa cheville ouvrière : c’est par des plans tournés à l’intérieur d’un violon que s’ouvre le film, dans un prologue qui donne la parole au luthier François Ettori, dans son propre rôle.
Les variations de tonalités tournent le film tantôt vers la fantaisie la plus débridée et tantôt vers la mélancolie la plus amère, où il est question de l’artiste et de sa solitude.
Sous ses dehors de vaudeville, une comédie sans fausses notes et d'une grande élégance sur la musique et la quête d'harmonie.
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